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mercredi 12 mars 2008

Tino Sehgal

Ayant lu dans les Cahiers du Musée national d'art moderne (numéro 101, automne 2007) deux commentaires sur le jeune artiste Tino Sehgal, j'ai introduit des propositions à son sujet. Cet artiste cherche à faire surgir l'événement par des protocoles et des règles dont la caractéristique est d'être exclusivement vocaux. Pour que ça puisse fonctionner, ces règles doivent être impératives. L'artiste exerce un contrôle étroit sur la transmission et la reproduction de l'oeuvre. Il ne l'abandonne pas à l'acheteur comme on abandonne un tableau une fois peint ou un livre une fois écrit. Pour faire surgir le genre d'événement recherché, il faut que les interdits sur le texte, le paratexte et l'image soient strictement respectés (pas de cartel, ni d'information ni de publicité etc...). Un autre genre d'encadrement surgit : des commandements. auxquels sont soumis les acheteurs, les acteurs et les spectateurs de l'oeuvre. Avec la voix fait retour la toute-puissance paternelle.

vendredi 7 mars 2008

Panofsky, La perspective comme forme symbolique

J'ai introduit une quinzaine de propositions qui reprennent certains aspects du célèbre article d'Erwin Panosfky, La perspective comme forme symbolique. J'articulerai peu à peu ces propositions avec celles d'autres auteurs, comme Hubert Damisch.

Merleau-Ponty dans Idixa

Autour de Merleau-Ponty, j'ai avancé sur le fond et sur la forme. J'ai établi un certain nombre de propositions sur la base de deux de ses livres (Le visible et l'invisible et L'oeil et l'esprit), et je les ai articuléees en quelques parcours transversaux sur la chair, l'entendre-parler (en connexion avec Derrida), l'ouverture à l'être, le monde, la vision, et la peinture.