Il m'a fallu de grands efforts pour idixer ce texte d'une cinquantaine de pages publié dans le recueil de Dessins et portraits d'Antonin Artaud édité par Paule Thévenin en 1986. Texte prodigieusement dense qui introduit au concept du subjectile, mot qui n'aura plus jamais le même sens après le double passage d'Antonin Artaud et de Jacques Derrida. [Encore faudrait-il qu'il ait eu un sens avant ce passage, ce qui n'a rien d'évident.] En tous cas Artaud s'en sert trois fois, dixit Derrida, et le sort de l'obscurité.
On trouvera la vingtaine de propositions que j'en ai douloureusement retiré à la page Forcener le subjectile. Je ne me lance pas dans le gigantesque effort de le résumer à nouveau. Le lecteur pourra se reporter aux pages Derrida, le subjectile, et Derrida, Artaud, qui donnent une idée de la difficulté - voire de l'impossibilité - de la tâche qui consisterait à en faire un concept. Le subjectile est une figure de l'Autre, une figure de la Khôra, un support qui devrait se faire oublier mais que rien ne peut empêcher de revenir. C'est un spectre qui ne revient sur ce blog que par effraction.
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